Bonjour Jean ,
Je suis ravie que la vie m’aie ouvert la porte de ton chemin vers l’éveil.
( j’ai écouté et re-écouté avec passion ton entretien avec Maria Loire.
Une question subsiste néanmoins ;
que veux-tu dire lorsque tu parles de « confier nos mémoires à notre âme » ?
Peux-tu me donner un autre terme ( + cartésien, traditionnel pour
– « mémoires » et « âme » ?
D’ores et déjà, je t’en remercie vivement.
Bien cordialement,
Sonia.
Bonjour Sonia,
La lecture de l’ebook t’éclairera certainement sur le mot »mémoire ». On pourrait dire, pour mémoires, des blocages émotionnels venus du passé. Quel passé? De notre vie, notre adolescence, notre enfance, notre vie intra utérine (le plus important peut-être), de nos parents, de nos ancêtres (démontré par la psychogénéalogie).
Nos mémoires sont aussi nos croyances qui sont nos lunettes « déformantes » à travers lesquelles nous voyons les autres, nous-mêmes, les événements, la vie, le monde.
Ho’oponopono nous invite à « nettoyer » nos mémoires, donc entre autre nous défaire de ces lunettes pour voir le monde tel qu’il est en réalité, c’est à dire Amour. Eh oui, la lumière, comme l’amour, est partout. Nos zones d’ombre se caractérisent par l’absence de lumière, tout comme nos peurs sont des sentiments de non amour.
Nettoyer nos mémoires c’est pardonner donc mettre de la lumière…ou de l’amour.
Notre partie consciente (le mental ou l’ego) ne sait pas faire cela car elle se plait à ajouter croyances aux croyances afin de nous maintenir dans la peur permanente. C’est sa façon de nous maintenir sous contrôle.
Notre partie inconsciente est, au contraire, cette petite voix que nous entendons encore trop rarement qui cherche à nous indiquer toujours le meilleur chemin. Nous commençons à l’entendre de plus en plus distinctement au fur et à mesure que ce « nettoyage » des mémoires se fait efficacement et en conscience. Cette partie inconsciente je l’appelle l’âme.
Maintenant qu’est-ce qui caractérise un cartésien? Ses propres croyances, non? Alors je ne voudrais pas ajouter en toi d’autres croyances. Par conséquent ne crois pas tout ce que je viens d’écrire car rien ne vaut l’expérience. Alors fais l’essai pendant quelques temps et vis l’expérience de Ho’oponopono par une pratique consciente…
Un grand merci pour cette question et vraiment ravi si j’ai pu aider un peu.
C’est très juste Jean !
Je retrouve tout cela dans mon chemin depuis 30 ans
C’est tellement plus limpide Qd on regarde avec cet œil et avec le cœur
By the way Maria est une de mes grandes amies et nous avons eu le bonheur de co-créer une jolie pépite pour son sommet …
J’ai été ravie de votre intervention auprès de Martine
Maria Luisa et toi nous avez fait beaucoup de bien 🙂
A bientôt
Edith
Merci pour ce cadeau-ebook.. il vient à point nommé dans « ma vie »…
« recroquevillée-bloquée », suite à (…), j’arrive à accorder toute ma confiance à votre lumière..
J’ai approché Ho’oponopono via Mable Katz.. dans 1 1er temps. Puis votre travail et fruits (dont votre jeu de cartes..) vient me (ré)conforter dans ce chemin de guérison..
Je passe par toutes les couleurs en ce moment.. Je reste en veille sur vos travaux, avec Maria Elisa..pour me donner 1 nouvelle chance d’être……….
il s’agit d’1 belle opportunité de réapprends la confiance, merci……………………
Après avoir lu Ho’oponopono, une question m’est apparu spontanément:
Il est spécifié qu’il ne faut pas avoir d’attentes pour accueillir l’inspiration.
Or; la première pratique d’Ho’oponopono résulte forcément d’un sentiment négatif vis à vis de quelque chose: une rupture, un décès, des questions qui arrivent… Et même si l’on pratique Ho’oponopono en pensant ne pas avoir d’attente; j’ai du mal à concevoir qu’on ne puisse le pratiquer sans la moindre attente.
Toute action induit un résultat? Donc nous sommes forcément dans l’attente.
Peut être suis je dans le brouillard complet. Peut être pourriez vous soufflez insuffler une brise de vent pour éclaircir mon chemin?
Bonjour,
Vous soulevez une question très importante et c’est un point sur lequel nous insistons beaucoup en stage.
Pensez que, être dans l’attente de quelque chose bloque le processus et rien ne peut se faire. C’est le mental qui « veut » un résultat. Avec Ho’oponopono, on confie à sa Divinité intérieure et il n’y a aucun résultat à attendre sauf celui d’être en paix et rien d’autre. Dès qu’on commence à pratiquer Ho’oponopono (notre expérience date de dix ans de pratique), on apprend à ne ne rien vouloir, rien désirer, rien souhaiter, sauf celui d’être en paix et cela en toute circonstance et quoi qu’il arrive.
Le but de la pratique de Ho’oponopono est de se déconnecter le plus possible de son mental pour se connecter à sa divinité intérieure. Il n’y a pas d’action à mener pour obtenir un résultat. Laissons cela aux des techniques thérapeutiques mais Ho’oponopono est plus que cela et son objectif est simple: vivre en paix. Dans cet état vous aurez une autre perception sur les autres, les évènements, sur vous-même et des idées plus claires vous apparaitront et c’est cela que nous appelons l’inspiration.
Ai-je répondu à votre question?
Bien à vous
Jean Graciet
Je ne veux rien changer, mais j’ai survolé un livre en vitesse (dont je ne me rappel plus trop trop le pourquoi d’explication sur le sujet) en librairie que l’ordre dans lequel les 4 phrases ou mots prononcé avait une signification dans l’énergie.
Comme en date d’aujourd’hui il y a plus de copies qu’ils peut en exister, j’aimerais être éclairé sur la question.
»Comment Monsieur Len faisait »
»L’original » à sa raison d’être et le reprendre intégralement sera (à mon point de vue) dans la même continuité.
Trop de gens ont fait leur propre version et changé trop de chose.
Bonjour,
Vous trouverez des éléments de réponse dans mes interventions ci-dessous.
Morrnah Simeona, comme d’ailleurs les traditionalistes hawaïens pratiquant Ho’oponopono, ne récitait absolument pas de mantra. Le Docteur Len, qui a été son élève, a simplifié les prières et s’adressait à son enfant intérieur, à sa divinité intérieure par quelques phrases lesquelles ont encore étaient simplifiées pour devenir le mantra que nous connaissons: Je suis désolé, je te demande pardon, je te remercie, je t’aime.
Ces mots, adressés à sa divinité, renferment une forte énergie mais ce n’est pas encore le plus important qui est d’élever son niveau de conscience afin de rester connecter avec sa divinité intérieure.
Il est vrai de dire que « trop de gens ont fait leur propre version » de Ho’oponopono. Mais pourquoi pas après tout. Vous trouverez des réponses plus concises dans le livre « Trouver la paix intérieure avec Ho’oponopono pour les nuls » qui est le plus complet à mes yeux ou encore dans les deux ebook gratuits que vous trouverez dans ce site.
Bien cordialement
In lakesh,
Jean Graciet
Bonjour Jean Graciet,
Tout d abord merci pour ce livre il m apporte beaucoup.
J ai une question.
Mon mental est très manipulateur.
J aimerai savoir comment faire quand j ai un choix à faire :comment savoir si mon choix suivra l inspiration de ma divinité et non la parole de mon ego.
La vie nous montre telle le chemin ? Est ce que c est forcément le bon choix?
Je réponds très tardivement désolé. La question est, comment exercer son discernement dès qu’un choix s’impose? Ce n’est pas si facile je reconnais et pourtant on peut y arriver.
En tous cas essayer d’être connecté le plus souvent possible c’est essentiel et essayer de repérer tous les signes et synchronicités qui se présentent. Tout a un sens et tout nous parle.
Bonjour, merci pour ce livre .
Ma question : mon fils a fait une chute fatale en montagne. Il etait seul et on n’en sait pas plus. Est ce qu’il est responsable ? Est ce son ame qui l’a « poussé » ?
En quoi suis je responsable, en quoi cet événement tragique peut avoir une forme pour me faire réfléchir moi ( je me sens coupable , profondement triste , inconsolable, …)
Est ce que cette disparition a des impacts de reflexions vers d’autres personnes ?
Je vous remercie
Marie
Bonjour,
Chacun est responsable de tout ce qui lui arrive et, la réalité, c’est que nous avons choisi toutes nos expériences à vivre car elles sont nécessaires à notre propre évolution. Elles ont même été choisies bien avant notre arrivée dans cette incarnation.
A un moment donné, l’âme décide de quitter ce corps en choisissant le temps et le lieu car elle sait quand le moment est venu. La mort n’est pas une fin mais le passage d’une vie à une autre, pour l’âme c’est une libération alors que c’est un drame pour ceux qui restent et c’est bien dommage bien que très naturel. C’est l’amour pour l’être qui n’est plus là physiquement mais qui continue de vivre sur un autre plan qui doit nous libérer et nous apporter la joie et la paix. La disparition d’un proche et à fortiori celle d’un enfant constitue la grande leçon à en tirer.
Vous n’êtes pas responsable encore moins coupable mais vous avez le droit d’être triste…momentanément. Acceptez l’expérience de vie de votre fils (qu’il a choisie) en respectant son choix. La tristesse le retient encore, la joie et l’amour le libère. Cela est votre choix.
Bien affectueusement
jean Graciet
Bonjour, mon fils a fait une chute fatale en montagne, seul, donc on ne sait ce qui est reelement arivé. Est ce son ame ?
Qu’est ce que je dois comprendre ? Est ce que d’autres doivent comprendre qqche ? Quel est le sens. Lui, plein de vie, de projets, d’amour…
Comment savoir .
Merci d’avance
Marie
Dsl je n’avais pas vu votre reponse. J’ai du mal à comprendre admettre que cela pouvait etre son choix. Il aimait tellement les gens, et à fortiori sa mère (bcp de choses passaient sans parole avec lui et c’etait une joie partagée de se retrouver ensemble). Comment savoir cela ?
Comment voir les signes?
Comment m’ouvrir ?
Je ne vois rien, c’est tout noir quand je ferme les yeux pour le moment
Hoponopono peut m’aider en cela … je vais demarrer la lecture du pdf pour le moment…
Merci
Il faut tout simplement admettre que tout se décide sur un autre plan qui ne nous est pas forcément accessible. Il faut donc donc accepter de ne pas tout comprendre. C’était son choix au niveau de son âme et vraiment c’était son choix.
Nous sommes entièrement responsable de tout ce qui nous arrive et la mort physique en fait partie. Rien à l’extérieur de nous ni personne ne décide du moment où nous devons laisser le corps.
Son départ a un sens pour lui d’abord mais aussi pour ceux qu’il aime, sa mère en particulier. Est-ce que vous vous seriez posé toutes ces questions s’il était encore Là? Pas si sûr. Dès que vous aurez les réponses vous comprendrez mieux les raisons de son geste et vous le remercierez.
Le départ d’un enfant fait très souvent évoluer ses parents et quelquefois de façon spectaculaire.
Ho’oponopono peut vous y aider fortement. Les deux ebook à télécharger vous aideront mais aussi les deux livres que nous avons écrit : « Le secret des guérisseurs Hawaïens avec ho’oponopono » et « Trouver la paix intérieure avec Ho’oponopono pour les nuls »
Vous pouvez aussi m’appeler, je suis à votre disposition.
Amicalement
Jean Graciet
Je vous remercie.
– Une maman a perdu son fils de 17 ans dans une avalanche lors d’une sortie par le lycée . Et là je suis désolée, mais je ne vois pas vraiment en quoi cela pouvait etre son choix.
-Mon fils que j’avais vu qq temps auparavant m’avait dit qu’il aimait tellement les gens ( et en recherche d’un nouveau lieu de vie après avoir quitté son travail et pris des vacances méritées ), me disait ne pas savoir où aller parce qu’il ne savait pas choisir entre ses amis, cela lui était inconcevable. Il m’avait dit, qu’il pensait éteindre son tél portable, partir ailleurs et ne plus donner de nouvelles. Il m’avait dit également que je devais profiter de la vie , de faire ce qui me plait.
Cela dit j’ai appris après qu’il avait fait une demande de passeport, avait donné sa dédit, ranger un coin de la maison pour accueillir ses affaires de son appart. Il avait prévu des dates de sorties (rallye automobile …), et on avait envisagé de partir en vacances à 2 . Donc … des questions…
Pour moi à ce jour je ne vois pas le sens pour moi qui l’aime . Mes enfants = ma joie de vivre.
Bonjour Jean ,
Je suis ravie que la vie m’aie ouvert la porte de ton chemin vers l’éveil.
( j’ai écouté et re-écouté avec passion ton entretien avec Maria Loire.
Une question subsiste néanmoins ;
que veux-tu dire lorsque tu parles de « confier nos mémoires à notre âme » ?
Peux-tu me donner un autre terme ( + cartésien, traditionnel pour
– « mémoires » et « âme » ?
D’ores et déjà, je t’en remercie vivement.
Bien cordialement,
Sonia.
Bonjour Sonia,
La lecture de l’ebook t’éclairera certainement sur le mot »mémoire ». On pourrait dire, pour mémoires, des blocages émotionnels venus du passé. Quel passé? De notre vie, notre adolescence, notre enfance, notre vie intra utérine (le plus important peut-être), de nos parents, de nos ancêtres (démontré par la psychogénéalogie).
Nos mémoires sont aussi nos croyances qui sont nos lunettes « déformantes » à travers lesquelles nous voyons les autres, nous-mêmes, les événements, la vie, le monde.
Ho’oponopono nous invite à « nettoyer » nos mémoires, donc entre autre nous défaire de ces lunettes pour voir le monde tel qu’il est en réalité, c’est à dire Amour. Eh oui, la lumière, comme l’amour, est partout. Nos zones d’ombre se caractérisent par l’absence de lumière, tout comme nos peurs sont des sentiments de non amour.
Nettoyer nos mémoires c’est pardonner donc mettre de la lumière…ou de l’amour.
Notre partie consciente (le mental ou l’ego) ne sait pas faire cela car elle se plait à ajouter croyances aux croyances afin de nous maintenir dans la peur permanente. C’est sa façon de nous maintenir sous contrôle.
Notre partie inconsciente est, au contraire, cette petite voix que nous entendons encore trop rarement qui cherche à nous indiquer toujours le meilleur chemin. Nous commençons à l’entendre de plus en plus distinctement au fur et à mesure que ce « nettoyage » des mémoires se fait efficacement et en conscience. Cette partie inconsciente je l’appelle l’âme.
Maintenant qu’est-ce qui caractérise un cartésien? Ses propres croyances, non? Alors je ne voudrais pas ajouter en toi d’autres croyances. Par conséquent ne crois pas tout ce que je viens d’écrire car rien ne vaut l’expérience. Alors fais l’essai pendant quelques temps et vis l’expérience de Ho’oponopono par une pratique consciente…
Un grand merci pour cette question et vraiment ravi si j’ai pu aider un peu.
Jean Graciet
C’est très juste Jean !
Je retrouve tout cela dans mon chemin depuis 30 ans
C’est tellement plus limpide Qd on regarde avec cet œil et avec le cœur
By the way Maria est une de mes grandes amies et nous avons eu le bonheur de co-créer une jolie pépite pour son sommet …
J’ai été ravie de votre intervention auprès de Martine
Maria Luisa et toi nous avez fait beaucoup de bien 🙂
A bientôt
Edith
Bonsoir Jean Graciet,
Merci pour ce cadeau-ebook.. il vient à point nommé dans « ma vie »…
« recroquevillée-bloquée », suite à (…), j’arrive à accorder toute ma confiance à votre lumière..
J’ai approché Ho’oponopono via Mable Katz.. dans 1 1er temps. Puis votre travail et fruits (dont votre jeu de cartes..) vient me (ré)conforter dans ce chemin de guérison..
Je passe par toutes les couleurs en ce moment.. Je reste en veille sur vos travaux, avec Maria Elisa..pour me donner 1 nouvelle chance d’être……….
il s’agit d’1 belle opportunité de réapprends la confiance, merci……………………
Merci pour cet ebook gratuit. JB
Bonsoir,
Après avoir lu Ho’oponopono, une question m’est apparu spontanément:
Il est spécifié qu’il ne faut pas avoir d’attentes pour accueillir l’inspiration.
Or; la première pratique d’Ho’oponopono résulte forcément d’un sentiment négatif vis à vis de quelque chose: une rupture, un décès, des questions qui arrivent… Et même si l’on pratique Ho’oponopono en pensant ne pas avoir d’attente; j’ai du mal à concevoir qu’on ne puisse le pratiquer sans la moindre attente.
Toute action induit un résultat? Donc nous sommes forcément dans l’attente.
Peut être suis je dans le brouillard complet. Peut être pourriez vous soufflez insuffler une brise de vent pour éclaircir mon chemin?
Bonjour,
Vous soulevez une question très importante et c’est un point sur lequel nous insistons beaucoup en stage.
Pensez que, être dans l’attente de quelque chose bloque le processus et rien ne peut se faire. C’est le mental qui « veut » un résultat. Avec Ho’oponopono, on confie à sa Divinité intérieure et il n’y a aucun résultat à attendre sauf celui d’être en paix et rien d’autre. Dès qu’on commence à pratiquer Ho’oponopono (notre expérience date de dix ans de pratique), on apprend à ne ne rien vouloir, rien désirer, rien souhaiter, sauf celui d’être en paix et cela en toute circonstance et quoi qu’il arrive.
Le but de la pratique de Ho’oponopono est de se déconnecter le plus possible de son mental pour se connecter à sa divinité intérieure. Il n’y a pas d’action à mener pour obtenir un résultat. Laissons cela aux des techniques thérapeutiques mais Ho’oponopono est plus que cela et son objectif est simple: vivre en paix. Dans cet état vous aurez une autre perception sur les autres, les évènements, sur vous-même et des idées plus claires vous apparaitront et c’est cela que nous appelons l’inspiration.
Ai-je répondu à votre question?
Bien à vous
Jean Graciet
Bonjour …
Je ne veux rien changer, mais j’ai survolé un livre en vitesse (dont je ne me rappel plus trop trop le pourquoi d’explication sur le sujet) en librairie que l’ordre dans lequel les 4 phrases ou mots prononcé avait une signification dans l’énergie.
Comme en date d’aujourd’hui il y a plus de copies qu’ils peut en exister, j’aimerais être éclairé sur la question.
»Comment Monsieur Len faisait »
»L’original » à sa raison d’être et le reprendre intégralement sera (à mon point de vue) dans la même continuité.
Trop de gens ont fait leur propre version et changé trop de chose.
Namasté
Bonjour,
Vous trouverez des éléments de réponse dans mes interventions ci-dessous.
Morrnah Simeona, comme d’ailleurs les traditionalistes hawaïens pratiquant Ho’oponopono, ne récitait absolument pas de mantra. Le Docteur Len, qui a été son élève, a simplifié les prières et s’adressait à son enfant intérieur, à sa divinité intérieure par quelques phrases lesquelles ont encore étaient simplifiées pour devenir le mantra que nous connaissons: Je suis désolé, je te demande pardon, je te remercie, je t’aime.
Ces mots, adressés à sa divinité, renferment une forte énergie mais ce n’est pas encore le plus important qui est d’élever son niveau de conscience afin de rester connecter avec sa divinité intérieure.
Il est vrai de dire que « trop de gens ont fait leur propre version » de Ho’oponopono. Mais pourquoi pas après tout. Vous trouverez des réponses plus concises dans le livre « Trouver la paix intérieure avec Ho’oponopono pour les nuls » qui est le plus complet à mes yeux ou encore dans les deux ebook gratuits que vous trouverez dans ce site.
Bien cordialement
In lakesh,
Jean Graciet
Merci pour ce beau cadeau !! Je vais découvrir de ce pas
rester dans le silence(absolu, intérieur) peut il être un moyen de nettoyer les mémoires
bien sûr des pensées viennent mais on les calme
Merci beaucoup
Merci pour le livre.
Bonjour Jean Graciet,
Tout d abord merci pour ce livre il m apporte beaucoup.
J ai une question.
Mon mental est très manipulateur.
J aimerai savoir comment faire quand j ai un choix à faire :comment savoir si mon choix suivra l inspiration de ma divinité et non la parole de mon ego.
La vie nous montre telle le chemin ? Est ce que c est forcément le bon choix?
Merci pour vos explications
Je réponds très tardivement désolé. La question est, comment exercer son discernement dès qu’un choix s’impose? Ce n’est pas si facile je reconnais et pourtant on peut y arriver.
En tous cas essayer d’être connecté le plus souvent possible c’est essentiel et essayer de repérer tous les signes et synchronicités qui se présentent. Tout a un sens et tout nous parle.
Bonjour, merci pour ce livre .
Ma question : mon fils a fait une chute fatale en montagne. Il etait seul et on n’en sait pas plus. Est ce qu’il est responsable ? Est ce son ame qui l’a « poussé » ?
En quoi suis je responsable, en quoi cet événement tragique peut avoir une forme pour me faire réfléchir moi ( je me sens coupable , profondement triste , inconsolable, …)
Est ce que cette disparition a des impacts de reflexions vers d’autres personnes ?
Je vous remercie
Marie
Bonjour,
Chacun est responsable de tout ce qui lui arrive et, la réalité, c’est que nous avons choisi toutes nos expériences à vivre car elles sont nécessaires à notre propre évolution. Elles ont même été choisies bien avant notre arrivée dans cette incarnation.
A un moment donné, l’âme décide de quitter ce corps en choisissant le temps et le lieu car elle sait quand le moment est venu. La mort n’est pas une fin mais le passage d’une vie à une autre, pour l’âme c’est une libération alors que c’est un drame pour ceux qui restent et c’est bien dommage bien que très naturel. C’est l’amour pour l’être qui n’est plus là physiquement mais qui continue de vivre sur un autre plan qui doit nous libérer et nous apporter la joie et la paix. La disparition d’un proche et à fortiori celle d’un enfant constitue la grande leçon à en tirer.
Vous n’êtes pas responsable encore moins coupable mais vous avez le droit d’être triste…momentanément. Acceptez l’expérience de vie de votre fils (qu’il a choisie) en respectant son choix. La tristesse le retient encore, la joie et l’amour le libère. Cela est votre choix.
Bien affectueusement
jean Graciet
Bonjour, mon fils a fait une chute fatale en montagne, seul, donc on ne sait ce qui est reelement arivé. Est ce son ame ?
Qu’est ce que je dois comprendre ? Est ce que d’autres doivent comprendre qqche ? Quel est le sens. Lui, plein de vie, de projets, d’amour…
Comment savoir .
Merci d’avance
Marie
Dsl je n’avais pas vu votre reponse. J’ai du mal à comprendre admettre que cela pouvait etre son choix. Il aimait tellement les gens, et à fortiori sa mère (bcp de choses passaient sans parole avec lui et c’etait une joie partagée de se retrouver ensemble). Comment savoir cela ?
Comment voir les signes?
Comment m’ouvrir ?
Je ne vois rien, c’est tout noir quand je ferme les yeux pour le moment
Hoponopono peut m’aider en cela … je vais demarrer la lecture du pdf pour le moment…
Merci
Il faut tout simplement admettre que tout se décide sur un autre plan qui ne nous est pas forcément accessible. Il faut donc donc accepter de ne pas tout comprendre. C’était son choix au niveau de son âme et vraiment c’était son choix.
Nous sommes entièrement responsable de tout ce qui nous arrive et la mort physique en fait partie. Rien à l’extérieur de nous ni personne ne décide du moment où nous devons laisser le corps.
Son départ a un sens pour lui d’abord mais aussi pour ceux qu’il aime, sa mère en particulier. Est-ce que vous vous seriez posé toutes ces questions s’il était encore Là? Pas si sûr. Dès que vous aurez les réponses vous comprendrez mieux les raisons de son geste et vous le remercierez.
Le départ d’un enfant fait très souvent évoluer ses parents et quelquefois de façon spectaculaire.
Ho’oponopono peut vous y aider fortement. Les deux ebook à télécharger vous aideront mais aussi les deux livres que nous avons écrit : « Le secret des guérisseurs Hawaïens avec ho’oponopono » et « Trouver la paix intérieure avec Ho’oponopono pour les nuls »
Vous pouvez aussi m’appeler, je suis à votre disposition.
Amicalement
Jean Graciet
Je vous remercie.
– Une maman a perdu son fils de 17 ans dans une avalanche lors d’une sortie par le lycée . Et là je suis désolée, mais je ne vois pas vraiment en quoi cela pouvait etre son choix.
-Mon fils que j’avais vu qq temps auparavant m’avait dit qu’il aimait tellement les gens ( et en recherche d’un nouveau lieu de vie après avoir quitté son travail et pris des vacances méritées ), me disait ne pas savoir où aller parce qu’il ne savait pas choisir entre ses amis, cela lui était inconcevable. Il m’avait dit, qu’il pensait éteindre son tél portable, partir ailleurs et ne plus donner de nouvelles. Il m’avait dit également que je devais profiter de la vie , de faire ce qui me plait.
Cela dit j’ai appris après qu’il avait fait une demande de passeport, avait donné sa dédit, ranger un coin de la maison pour accueillir ses affaires de son appart. Il avait prévu des dates de sorties (rallye automobile …), et on avait envisagé de partir en vacances à 2 . Donc … des questions…
Pour moi à ce jour je ne vois pas le sens pour moi qui l’aime . Mes enfants = ma joie de vivre.
Merci
Marie