Formes-Pensées par Anne Givaudan

 

Les Formes-Pensées par Anne Givaudan

 

« Commencer à s’accepter petit, c’est déjà accomplir un grand, grand pas… » – Le voyage à Shambhalla. Ce mois-ci, nous avons choisi de vous partager un extrait du livre « Formes-pensées – Découvrir et comprendre leurs influences sur notre santé et sur notre vie » chap. 21

Anne-Givaudan#2Par Anne Givaudan

« Jusqu’à présent, j’ai essentiellement évoqué les FP (formes-pensées) qui nous épuisent, alourdissent notre avance et nous rendent malades que ce soit sur un plan physique ou psychique. Mais penserez-vous à juste titre, pourquoi passer sous silence ces formes FP de lumière qui nous entourent? Et bien parce que justement, elles ne stagnent pas dans notre aura!

Une FP qui est issue de nous et que nous avons générée par une énergie lourde, c’est à-dire de colère, de tristesse de doute, en fait de tout ce qui émane de notre ego possède une densité, un poids, une forme. Plus elle est lourde, pesante et plus elle est proche de la matière physique, plus elle est visible, plus elle est palpable Sa densité la rend telle qu’elle stagne autour de nous, après voir déchiré notre tissu aurique.

Ainsi, une FP de peur ou de colère va, au tout début de sa formation, rester autour de nous, comme une valise que de mois en mois nous allons remplir, tout en gardant les vieux vêtements qui sont déjà dedans. Un jour, la valise ne peut plus rien contenir car elle est trop pleine et de toute façon, physiquement, nous n’avons pas assez de force pour continuer à la transporter… C’est le moment du « ras le bol », « de la goutte qui fait déborder le vase » et de la maladie que l’on découvre sur notre corps physique, due à notre peu d’attention à ce que nous transportons avec nous.

La vie actuelle est telle que nous sommes pris dans un tourbillon centrifuge dont il est difficile de nos extraire. Pourtant, nous ne pouvons plus ignorer que nous sommes malades, que la Terre est malade et que, de notre passivité intérieure, naît le plus grand marasme qui soit actuellement.

Par ces FP que nous ne cessons de créer et d’entretenir, nous collaborons étroitement à ce que j’appelle « Le Gouvernement Mondial ». Il est facile de se sentir désespéré ou impuissant devant les agissements de ce Gouvernement qui utilise en nous ce qu’il y a de plus bas. L’Amour vrai cependant, se passe de nos lamentations qui ne feront jamais œuvre utile.

Combien de fois ai-je entendu : « je me sens tellement impuissant devant les faits qui sévissent sur la planète que je préfère ne pas savoir. À mon âge, je veux vivre tranquille. De toute façon, ça a toujours existé, je me suis souvent culpabilisé et cela n’a rien changé. Alors, laissez-moi tranquille avec tout ça… »

La personne qui m’a tenu ces propos est en fait proche de ce que le plus grand nombre pense. Tant que le « mal » ne nous touche pas directement, on compatit, du moment que rien ne change dans le confort douillet de nos vies occidentales.

On peut signer une pétition, envoyer des mails, participer à une manifestation ou donner quelques sous mais la guerre a-t-elle cessé au fond de nous? Nos pensées sont-elles plus claires et plus lumineuses? Ou entretenons-nous comme à l’habitude nos vieilles rancœurs et nos anciens mécanismes de protection ou de fuite? Avons-nous changé le regard que nous portons sur la vie et qui la rend telle que nous la voyons? Avons-nous décidé de cesser toute collaboration avec l’ombre qui est en nous? Continuons-nous à diviser le bon et le mauvais chemin, ceux qui sont dans la droite ligne et ceux qui sont à côté? Allons-nous juger et nous juger, punir et nous punir encore longtemps?

Sans cette volonté de transmutation intérieure, toute action se révélera une simple vanité!

À cet instant de votre lecture, j’aimerais vous offrir les paroles de l’un des enseignants de Shambhalla :

« …L’ensemble de la race humaine croit se trouver devant un labyrinthe, ne sachant pas que celui-ci est l’image illusoire de la projection des pensées. Il faut maintenant cesser de s’excentrer car il n’y a qu’un pas du soi au Soi, un pas que nous empêche de franchir notre seul ego. L’âme a le visage de cet ego. L’âme a vécu ce qu’elle devait vivre, il vous faut enfin la laver et la dissoudre dans l’Esprit dont elle procède… Vos connaissances ne vous serviront à rien ou si peu… Qui a jamais vu une encyclopédie se feuilleter elle-même?… Prendre un stylo, enfoncer un clou, préparer un repas, sont les gestes quotidiens des hommes. Si pour vous ils sont insignifiants, ils sont aussi l’aveu de votre égarement. Qu’ils deviennent vos prières de vie et vos demeurerez au centre de vous-même… La matière est votre tremplin… Aimez sans commune mesure, aimez comme l’Amour lui-même. »

Une FP lumineuse, de joie, d‘Amour pur, sans séparativité, est d’une extrême subtilité. Je me suis souvent trouvée lors de mes voyages, que ce soit sur les plans physiques ou plus subtils, face à de grands êtres desquels émane une aura porteuse d’une indicible énergie de Vie. Cette aura qui part du chakra du cœur mais aussi de tous les atomes de vie de l’Être qui aime, inonde souvent de sa lumière toute une région. Elle entoure chacun d’une énergie si fine et tellement aimante que nous sommes aimantés par la présence de ces êtres qui nous apportent une nourriture inégalée. À travers l’exemple qui suit, nous allons assister au parcours d’une pensée pure (c’est-à-dire non entachée par le jugement) qui jaillit de notre être avec force et répétitivité chez celui que pourrait être chacun de nous.

STEVE – « La mesure de l’amour, c’est d’aimer sans mesure. » St-Augustin

Steve est un jeune anglais venu faire ses études en France. À Paris plus précisément. Depuis quelques mois il est très amoureux d’une jeune fille qui, malheureusement pour lui, continue son université dans une région du Sud de la France. Il ne peut la rejoindre que certains week-ends car il n’est pas bien riche. Qu’à cela ne tienne, l’auto-stop est aussi une bonne solution.

Lorsque Steve n’est pas près de Maggie, il en rêve et souvent pendant ses cours, son regard flotte vers un univers bien terrestre mais trop loin à son gré. Cette passion est tellement forte que Steve envoie des messages télépathiques remplis d’amour à Maggie qui de son côté sent naître en elle un Amour grand et fort. Le soir, il met une musique dans sa chambre d’étudiant, une musique commune à eux deux, qu’elle écoute aussi et qui les rapproche Pendant ce temps, sur d’autres plans, des FP s’envolent, messagères d’Amour et de joie, porteuses de futures retrouvailles.

Lorsque Steve pense tellement fort à Maggie qu’il sent tout son corps envahi par elle, ce n’est pas simplement du désir. Il n’attend rien en retour et il sait que même si Maggie ne l‘aimait pas, il continuerait à l’aimer. C’est en tout cas ce qu’il pense profondément et sincèrement à ce moment-là.

Durant toute cette époque, les FP qui s’échappent de lui sont d’une telle substance de lumière, qu’elles traversent tous les corps et toutes les auras protectrices de Steve sans qu’aucune n’en soit abîmée. Bien au contraire, ces FP sur leur passage renforcent et illuminent les auras du jeune homme à tel point, que même ceux qui ne le connaissent pas le sentent heureux, intouchable et lisent autour de lui l’Amour qui l’habite. C’est ainsi que pendant toute cette période, les auras de Steve vont connaître une expansion et une force inégalées qui seront ses meilleurs protections contre tout ce qui pourrait lui arriver.

Curieusement, le jeune étudiant se sent en pleine forme, même s’il travaille tard le soir, pour récupérer des ses week-ends avec Maggie. Il n’a plus de rhume, ni d’autres désagréments et se sent au mieux de ses capacités tandis que le monde change autour de lui.

Pour ce jeune Anglais, de la campagne qui trouvait Paris et surtout son quartier un peu sale, très bruyant et trop loin de la fac, tout semble différent. Paris est maintenant à ses yeux, une ville de tous les possibles. Dans son quartier, les gens lui sourient et sont devenus tout à coup aimables, même le bruit ne semble plus avoir d’existence ou si peu. Les camions poubelles et le nettoyage qui rythmaient son réveil matinal sont toujours les mêmes mais depuis un certain temps, Steve les aime comme faisant partie intégrante de a vie de son quartier. En fait, il aime tout et tout le monde et répand le sourire et l’envie d’aimer autour de lui.

En effet, les FP lumineuses sont, elles aussi, contagieuses. Si dans le cas de Simon, les FP tendaient leurs têtes chercheuses à l’affût d’une faille où pénétrer, les FP de Steve balaient tout le sombre autour d’elles et répandent une énergie porteuse de Joie. Elles touchent ainsi d’une caresse enveloppante tous ceux qui y sont accessibles. Si nous pouvions voir sur un plan subtil le ballet qui se danse autour du jeune homme lorsqu’il se promène dans la rue, nous verrions des rubans lumineux qui sans discriminations, caressent tous ceux qui passent près de lui.

Une dame âgée le croise sur le trottoir. Elle est en habits de deuil car elle vient de perdre son unique enfant d’un accident de voiture. Enveloppée de noir au physique comme au subtil, elle est absorbée dans ses pensées et sans voir le jeune étudiant, elle regarde le trottoir en faisant attention à ses pas qui semblent peu assurés. Elle pense que son fils n’a pas eu de chance et que, peut-être, elle ne lui a pas assez dit qu’elle l’aimait. Il ne la voyait plus beaucoup ces derniers temps… Elle aurait bien aimé le revoir au moins une fois. Maintenant, elle est bien seule.

Les tristes pensées tourbillonnent autour d’elle, amenuisant plus encore la coque protectrice de ses auras lorsque, tout à coup, une longue flamme couleur de l’Amour l’entoure de ses couleurs rose, azur et or. Le long ruban s’arrête un instant, comme devant un mur, mais sans se lasser et en l’espace d’un éclair, il tourne, virevolte et se fraye un passage à travers les jeunes FP sombres qui évoluent autour de la vielle dame. Un moment après, celle-ci s’arrête et fait mine de fouiller dans son petite sac à main, noir lui aussi.

Et si elle s’arrêtait pour prendre un thé dans ce salon qu’elle aime bien? Cette idée, qu’elle vient tout juste d’avoir, la détend un peu et lui plaît. Assise dans le salon de thé douillet, elle sort de son sac posé sur ses genoux, des photos, des photos d’un bonheur enfui mais qui cette fois ne la rend pas nostalgique.

En elle monte un chant de grâce, léger et subtil. C’est celui d’un remerciement pour tout ce qui s’est passé de beau et de bien dans sa vie. Pour tout l’Amour qu’elle a reçu et qu’elle a donné…

« C’est déjà si beau d’avoir pu vivre tout ça! » se console-t-elle intérieurement devant un brownie au chocolat et un thé au jasmin qui lui réchauffent le cœur.

Steve et la vieille dame ne se connaissent pas et ne se rencontreront sans doute jamais, pourtant entre eux, il y a un lien, si lumineux et si solide, qu’il perdurera au-delà de l’espace et du temps : celui d’un instant d’Amour et de Bonheur.

Pendant ce temps, l’énergie radieuse de ces FP s’envolent pour nourrir l’égrégore de l’Amour et lorsqu’à des milliers de kilomètres de là, Tchang voudra enfreindre les règlements familiaux et épouser celle que son cœur aime vraiment c’est là qu’il puisera la force d’agir.

Tchang est d’une grande famille asiatique qui est riche et connue. La mésalliance est quelque chose d’impensable chez elle. On ne se marie qu’avec quelqu’un de même rang et de même race. La tradition le veut ainsi et toutes les révolutions n’y changeront rien. Tchang seconde son père dans son entreprise mais c’est un jeune homme doux et surtout il est très amoureux. L’obstacle n’est pas pour lui d’être amoureux, mais que la jeune fille qu’il aime soit européenne et sans titre, ni richesse. Voilà le « problème » avec lequel il se débat depuis des mois.

Qu’à cela ne tienne, aujourd’hui Tchang se sent assez de force et de courage pour affronter ses parents. Il sait déjà que son père, sous le coup de la colère, va menacer de le déshériter et que sa mère ne voudra plus le voir. Mais aujourd’hui, rien ne peut l’arrêter. Il est sûr de son amour et de celui de cette jeune fille qui l’aime. Qu’importe, il travaillera à l’usine, s’il le faut, mais il ira jusqu’au bout, non pas de son désir mais de son amour.

La seule chose qu’il sait, c’est que tout est possible, et ainsi, il puise inconsciemment l’énergie dont il a besoin dans l’égrégore qui lui donnera la force de concrétiser son objectif : celui de l’Amour.

Contrairement aux FP d’ombre, les FP de lumière ne stagnent pas dans une aura. Elles sont si volatiles, si légères et si actives qu’elles remplissent son créateur d’une immense aura de bonheur. Leur peu de consistance « physique » ou de densité, les rendent non pas fragiles, ni vulnérables, mais au contraire exemptes de toute manipulation. C’est là toute leur puissance. Elles ne peuvent jamais être phagocytées par la non-lumière.

En fait, c’est un peu comme si nous voulions nous brancher sur les différentes fréquences d’une radio. Nous pouvons capter l’une ou l’autre des émissions et lorsque des émissions se chevauchent, nous n’obtenons qu’un brouhaha inaudible.

Les FP quant à elles, fonctionnent analogiquement. Leurs densités sont différentes et elles ne voyagent pas toutes sur la même fréquence. Elles ne sont donc atteintes que par des énergies qui se déplacent sur une « fréquence vibratoire » analogue à la leur. Une FP de Lumière ne peut être manipulée. Par contre, lorsqu’elle rencontre une FP à fréquence lente, comme celles émises par la vieille dame en deuil, elle permet la Transmutation.

Je sais que pour un scientifique les mots que j’emploie peuvent paraître inadéquats. Il est pourtant essentiel de ne pas s’en tenir au vêtement extérieur de mon explication mais d’en pénétrer l’Essence.

Tout au début de nos expériences hors du corps, avec Daniel Meurois, nous donnions l’une de nos premières conférences dans une petite salle proche de l’université de Lille. Il y avait donc des étudiants et des professeurs dans l’auditoire. Le voyage astral était un domaine dont personne ne parlait publiquement en 1971. Nous étions donc au milieu de nos explications lorsqu’un homme se leva pour prendre la parole. Son intervention fut la suivante :

« Vous dites que vous faites ces expériences à deux, j’en déduis que vous êtes des escrocs. Je fais des recherches dans ces domaines et personne jusqu’à présent n’a pu le faire à deux. Je suis professeur et je ne peux vous croire. »

Une autre personne se leva et sortit, clamant d’une voix très audible que nous étions des êtres « dangereux ».

Quant à nous, nous étions assis et heureusement! Ce n’était même pas notre expérience de sortie hors du corps que cet homme mettait en doute, ce qui aurait pu paraître plus logique. Non, toute sa contre argumentation tenait dans le fait que nous étions deux… j’étais atterrée et déjà très impressionnée d’avoir un petit public. J’aurais donné beaucoup, à ce moment-là, pour ne pas être là. Pas un instant l’intervenant n’avait eu l’idée de se remettre en cause, ni de se demander, si après tout ce que nous disions valait d’être regardé de plus près.

Malhabile, je ne savais que répondre et mes réparties, d’habitude à propos, semblaient m’avoir totalement abandonnée. Intérieurement, j’étais comme un poisson hors de l’eau. Extérieurement, ça ne se percevait pas. Moi qui n’avais déjà aucune envie de partager mes expériences en public, sachant combien je pouvais à l’époque m’attirer de remarques désobligeantes, je me voyais traitée « d’escroc » et de « menteuse ». Ce jour-là, mon orgueil a été touché jusqu’à ce que je me persuade que je n’avais rien à prouver. Je décidai après cela, de faire comme une journaliste, de témoigner simplement de ce que je vivais, sans penser que le monde entier doive me croire. J’acquis ainsi une plus grande sérénité.

Les FP de Lumière, aussi légère et subtiles soient-elles, ont cependant une forme et une action très concrète.

Lorsque nous regardons l’aura d’une personne qui prie ou qui médite, pour un objectif précis, nous voyons une très belle lumière autour de la personne en question et des formes géométriques, qui s’envolent pour atteindre leur destination.

Pour être plus précise : si nous pensons à une personne qui a besoin de notre aide, un enfant qui va passer un examen ou à une amie malade, une FP va s’envoler de nous, porteuse de notre énergie d’Amour. Arrivée à destination elle balaiera selon sa force et sa précision, les FP qui sont générées par la peur ou la tristesse des receveurs. Si les FP que nous envoyons sont pures, c’est-à-dire dénuées de marchandage, si elles sont envoyées non pour jouer les sauveurs mais dans un acte d’Amour, si elles sont précises et répétées, elles ont toutes les chances de dissoudre les FP d’ombre qui traînent autour de leurs destinataires.

Ainsi l’enfant retrouvera en lui sa confiance initiale et l’amie malade se sentira plus calme pour traverser ce qu’elle vit à cet instant.

Une FP, de Lumière et d’Amour, ne peut faire le chemin à la place de celui ou celle à qui elle est destinée.Personne ne fera jamais le chemin à notre place et c’est juste ainsi. Le rôle des FP est de nous faire retrouver notre Essence et de nous permettre de réveiller en nous la mémoire du grand Soleil qui ne nous a jamais quittés.

Nous n’avons rien à attendre de ce qui est extérieur à nous puisque tout est déjà en nous. L’Amour ne peut être et ne sera jamais offert en partage car il est là, partout autour de nous… Nous l’avons simplement oublié. À nous de lever les voiles qui recouvrent notre regard, ce regard que nous croyons porter si loin et qui n’a pas encore fait son premier pas.

Je lisais récemment une note sur les derviches tourneurs qui disait en substance que certains ordres sufis ont maîtrisé la danse-spirale.

« Par la répétition de ce mouvement sacré, ils parviennent aux plus hauts niveaux de conscience. Ces derviches peuvent voyager au centre de la spirale et en rapporter la puissance magique de leur choix. Dans cet état, le derviche pénètre le Grand Silence et entre en communication avec le Créateur. Par tours et détours, le derviche attire et repousse certaines énergies… »

Cela m’a précisément ramenée à une danse où des derviches tournaient inlassablement. Je ne sais s’il s’agissait de ceux cités par le texte, mais je me souviens d’avoir vu, durant toute cette danse, des énergies et des masses sombres qui stagnaient dans l’Ether du lieu et qui au fur et à mesure du tournoiement semblaient balayées puis dissoutes jusqu’à ce qu’il ne reste plus que de la Lumière autour des danseurs.

Je ne sais pas si ces masses sombres sont revenues par la suite ou si l’alchimie en action à cet instant les a définitivement transformées. Cependant, une lumière qui s’amplifiait, tournoyait dans la sphère de chaque danseur jusqu’à ce que tout à coup une seule énergie jaillisse, telle une gerbe de lumière, au centre de leur groupe, les unifiant en un seul Être. »

 

2 commentaires

  1. Sénorita dit :

    Je suis en phase avec toutes ces idées. J’ai moi-meme vécu des expériences extraordinaires mais J’ai besoin de progresser.je suis parfois assaillie de doutes et J’ai bien du mal à rester centrée. Merci pour vos méditations qui me nourissent.

  2. Halbout Dominique dit :

    Bonjour . Que de formes de personnages des ronds bleus et verts sur mes photos je ne sais pas ce que cela veut dire mais c’est joli . Merci de me répondre et bonne journée

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